La Commission scolaire francophone des TNO n’exclut pas de porter la cause devant la Cour suprême du Canada. De son côté, la première ministre dit prôner la collaboration et plus de flexibilité dans le processus d’admission.
Les visiteurs présents à la Fête nationale de l’Acadie ont pu se régaler de fricot de poulet et de ploye
En ville ou en nature ? L’AFCY poursuit ses consultations auprès des résidents et des organisations francophones, qui ont leur mot à dire sur la façon dont ils souhaitent célébrer leur francophonie.
« Ce projet ne vise pas à remplacer la Saint-Jean Batiste », peut-on lire dans l’introduction du sondage de l’AFCY, auquel les Ténois sont invités à répondre jusqu’au 23 juillet. Première étape d’une future tradition ?
Échappant à la sempiternelle polarisation anglofranco, l’Association franco-culturelle de Yellowknife (AFCY) rencontrait le 5 juillet dernier ses homologues chinois, philippins et musulmans, réunion informelle en vue d’une collaboration potentielle.
Il est peu commun qu’un organisme francophone soit honoré pour une contribution à d’autres cultures que la sienne.
Le gouvernement des TNO évoque la possibilité de réintroduire sa directive ministérielle sur les admissions, abolie en 2020, advenant un jugement.
De nombreux juristes pratiquent en français aux TNO, or ce n’est pas toujours évident de les trouver. Une initiative communautaire veut les débusquer.
L’AFCHR sera maintenant connue sous l’appellation «Association franco-culturelle ténoise du Sud et de l’Ouest»
«Une offre active sans prestation de services dans la langue de choix est un geste vide qui ne respecte pas les exigences de la Loi sur les langues officielles» — l’ancienne Commissaire aux langues des Territoires du Nord-Ouest, Shannon Gullberg