Quel régal que d'enfin lire cette « Apologie des grands mots » de Geneviève
Harvey, dans une récente édition de L'Aquilon. Traductrice émérite,
championne tous azimuts de nos Dictées des Amériques, elle y plaide en
faveur de l'emploi du mot juste, peu importe le nombre de ses syllabes.
Éloignés des grands centres culturels de la francophonie, cernés par
l'envahissante anglophonie nord-a...