L’environnement dans le Nord change : la moitié des routes d’hiver pourrait avoir disparu d’ici 2050, voire devenir totalement inexistante d’ici 2080, les aéroports pourraient devenir de plus en plus impraticables, et les bâtiments de plus en plus instables. Ce sont les constats mis en évidence par le dernier rapport de l’Institut Climatique du Canada, qui évalue les couts associés au maintien, quand c’est possible, des infrastructures dans le Nord.