Peut-on se réjouir de la montée du courant woke en nos terres canadiennes ? Ce mouvement, le néo-politically correct, mais en plus virulent, découlant d’une lecture totalement déconnectée de l’histoire socioculturelle, dont il nie les travers et les influences, se veut une espèce de mise à niveau, de rabaissement au plus petit dénominateur commun de l’expression de la Culture, surtout l’occidentale, la cartésienne tout comme la postmoderne.